Transformation en abcès.

Produit de dégradation de l'ADN, pouvant être responsable de calculs (à ne pas confondre avec l'urée).

Analyse des urines permettant de compter le nombre de globules rouges et blancs éliminés sur un laps de temps. Aussi appelé  HLM pour Hématies Leucocytes Minutes.

Cancer provenant des glandes, notamment la prostate.

Tumeur bénigne.

L'adénome de prostate est une pathologie extrêmement fréquente, appelée Hyperplasie Bénigne (HBP).

Il s'agit de l'augmentation de volume de la zone transitionnelle de la prostate, comprimant le canal de l'urèthre et obstruant la vessie. Elle touche de plus en plus d'homme avec l'âge.

Voir l'article ADENOME DE PROSTATE

Traitement réalisé après un traitement principal. (ex : radiothérapie adjuvante après prostatectomie radicale dans le cancer de prostate).

Association Française d'Urologie

Société savante qui regroupe les urologues de France.

Elle permet les échanges scientifiques et établit les recommandations de prise en charge pour les pathologies de l'appareil urinaire.

Elle édite le journal scientifique francophone Progrès en Urologie.

Enveloppe épaisse et solide des testicules et des corps caverneux.

Réduction de l'acidité. Traitement habituel des calculs d'acide urique. L'eau de Vichy ou certains médicaments sont généralement utilisés.

Marqueur biologique du cancer du testicule.

Famille de médicaments utilisés dans le traitement de l'adénome de la prostate. 

Permet de réduire le tonus des cellules musculaires lisses du col vésicoprostatique et de l'uretère.

L'éjaculation rétrograde et, moins fréquemment, l'hypotension sont les effets indésirables les plus classiques.

Nom commercial de la Mitomycine C.

Médicament de chimiothérapie, aussi utilisée en instillations dans la vessie pour le traitement des polypes de vessie dans les formes peu agressives.

Médicament utilisé dans le cancer de prostate, qui ressemble à la LHRH (hormone sexuelle précurseur) et qui occupe les mêmes récepteurs, sans en avoir les effets. Cela bloque la sécrétion de la LH par l'hypophyse et par cascade de la testostérone. 

Nom donné à la suture qui permet de remettre en continuité deux organes ou un organe sectionné.

exemples :

anastomose vésico-uréthrale : remise en continuité de la vessie avec l'urèthre après avoir enlevé la prostate.

anastomose urétéro-urétérale : remise en continuité de l'uretère en suturant entre eux deux fragments.

Terme général pour les hormones mâles, comme la testostérone.

Médicament utilisé dans le cancer de prostate, qui se fixe sur les récepteurs dédiés à la testostérone. Il réduit la stimulation des cellules cancéreuses de la prostate en bloquant ces récepteurs.

Classe de médicaments qui empêchent la fabrication des vaisseaux sanguins qui irriguent certains cancers. Elle fait partie des thérapies ciblées.

En effet, la tumeur qui grossit a besoin d'oxygène, transporté par le sang. De nouveaux vaisseaux vont apparaître (néoangiogénèse) autour de la tumeur. Ces médicaments bloquent cette phase.

Cette classe thérapeutique est récente et n'a rien à voir avec une chimiothérapie, même si elle est utilisée dans le traitement de certains cancers.

Traitement inhibiteur de l'acétylcholine.

Permet de réduire les contractions involontaires de la vessie.

Donne souvent la bouche sèche.

Partie inférieure de la prostate, proche du sphincter strié.

Qui ne présente pas (encore) de symptôme. 

ou Veille Attentive

traduction de l'anglais Watchful Waiting

Option thérapeutique qui consiste à attendre que la maladie devienne perceptible pour être traitée. Généralement, ceci est proposé quand il existe un risque important de décéder d'une autre pathologie avant, et que le traitement ne soit jamais utile. C'est une option discutée chez les personnes fragiles.

Cette option est différente de la Surveillance Active qui consiste à mettre en route un traitement avant que celui-ci comporte le risque d'être moins efficace. C'est un option pour les maladies à un stade précoce.